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Des esquisses improvisées faites de cires empruntées du bout du doigt . Puis, une lumière de bougies et de  feu de cheminés, des amis... 

 

 

Les sanglots longs

Des violons

De l’automne

Blessent mon coeur

D’une langueurMonotone.

 

 

Et je m’en vais

Au vent mauvais

Qui m’emporte

Deçà, delà,

Pareil à la feuille morte.

 

 

 

Tout suffocant

Et blême, quand

Sonne l’heure,

Je me souviens

Des jours anciens

Et je pleure

Poème classé dans Automne, Le temps qui passe, Paul Verlaine.

Chanson d’automne

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